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CNews qui fait dans le pluralisme, ils invitent des gens de gauche 🤡

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Netanyahu: "Lula crossed the line"

Israël a torturé des employés de l'UNRWA pour leur soutirer de faux aveux

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Tout mouvement sioniste, ne sera jamais feministe. Quoi qu'on en dise.

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Sympa...

La France est le 3e pays le plus gros vendeur d'armes au monde. De grands groupes comme Thales, Safran, Dassault, mais aussi de nombreuses PME, fabriquent et vendent du matériel militaire à Israel, ou ont des partenariats avec des marchands d'armes israeliens. Fin Janvier, l'état israélien s'est assis sur la décision de la cour internationale de justice qui lui a ordonné de prendre toutes les mesures pour empêcher tout acte de génocide contre les Palestiniens à Gaza.

Par ailleurs, la France a signé le traité sur le Commerce des Armes qui interdit la vente d'armements et leur emploi "vers des pays ou des zones de conflits où les droits humains sont bafoués". Mais cela ne l'empêche pas d'avoir des contrats avec des États impliqués dans de multiples répressions et massacres de civils (Palestine, Égypte, Turquie, Liban, Togo, Côte d'Ivoire, RDC, Chili, Arabie Saoudite, Bahreïn…) ou des guerres d'agression (Ukraine, Yémen, Syrie, Kurdistan…). Dans notre région aussi, des entreprises fabriquent et vendent ces armes avec l'autorisation de l'État français.

La guerre se fabrique près de chez nous.

La plupart de ces entreprises locales sont membres du cluster EDEN, qui est hébergé par la Chambre de Commerce et d'Industrie de Lyon Métropole Saint-Étienne Roanne (CCI). Le cluster EDEN sert de lobby auprès des pouvoirs publics pour gagner des contrats d'armement partout dans le monde. Parmi ces entreprises, PGM Précision (Savoie) vend des fusils pour les tireurs d'élite de l'armée israélienne.En Saône et Loire, AMEFO fabrique des blindages militaires. C'est une filiale de l'entreprise israélienne Plasan. Cette entreprise fabrique des blindés légers (Storrider et Sandcat) utilisés par l'armée et les forces de police israéliennes, et testés par le Banc National d'Épreuve de St Étienne, qui appartient à la CCI de Lyon. Dès l'attaque du 7 octobre, elle a mis les bouchées doubles pour fournir l'armée israélienne.

L'industrie de l'armement bénéficie aussi de multiples aides publiques (Communes, Région, État) financées par nos impôts. La Vice-Présidente de Wauquiez, Stéphanie Pernod, déclare que « la Région est fière de soutenir ses fleurons industriels spécialisés dans l'armement tant ce secteur est stratégique pour notre souveraineté, en plus de créer des emplois dans nos territoires. » La CCI de Lyon, par le biais du cluster EDEN et du BNE, est donc directement impliquée (avec toutes les autres entreprises et universités qui collaborent militairement avec Israël) dans les massacres commis contre les palestiniens de Gaza et de Cisjordanie.

La guerre se fabrique près de chez nous. Refusons d'être passifs et complices au nom de mauvaises raisons économiques et stratégiques.

Dans ce texte, une trentaine de syndicats palestiniens appellent les syndicats à l'échelle internationale à : ●Refuser de fabriquer des armes destinées à Israël ●Refuser de transporter des armes vers Israël ●Adopter des motions à cet effet au sein de leur syndicat ●Prendre des mesures contre les entreprises complices qui participent à la mise en œuvre du siège brutal et illégal d'Israël, en particulier si elles ont des contrats avec leur institution ●Faire pression sur les gouvernements pour qu'ils cessent tout commerce militaire avec Israël

Source complémentaire : voir rapport de l'Observatoire des armements « les guerres se fabriquent près de chez nous » et informations fournies par la CRAAM Coordination Régionale Anti-Armements et Militarisme de Lyon

Lien vers la carte interactive de Stop Arming Israël France, qui répertorie les entreprises françaises qui participent à la collaboration militaire avec Israël : https://framacarte.org/fr/map/entreprises-darmement-en-france_173229#6/47.122/2.483

Detainees who have been returned to Gaza have testified about harsh treatment, including beatings and abuse by soldiers and during questioning. IDF spokesperson says the military has opened investigations into the deaths

27 Gaza detainees have died in custody at Israeli military facilities since the outbreak of the war, according to figures obtained by Haaretz.

The detainees died at the Sde Teiman and Anatot facilities or during questioning in Israeli territory. The IDF Spokesperson's Office said the Investigative Military Police has opened investigations into the deaths. The IDF did not detail the circumstances of the deaths, but said that some suffered from prior health conditions or were wounded during the war.

Since the start of the war, the army has held Gazan detainees in temporary prison camps at the Sde Teiman base. The detainees at Sde Teiman were questioned by Unit 504. Under an amendment to the law that was passed during the war, detainees may be held for up to 75 days without seeing a judge.

Some detainees have been released and returned to Gaza. In addition, Gazan workers with permits who were in Israel at the outbreak of the war were held at the Anatot detention camp until most were released back to the Strip. A source told Haaretz that at least one of them, a diabetic, died there, after not receiving medical treatment. In December, Haaretz revealed that detainees at Sde Teiman were held while handcuffed and blindfolded throughout the day.

Pictures later published by Haaretz revealed what the location where the detainees were held looked like, and a source there said that soldiers tended to punish and beat detainees, which matches testimonies of Palestinians who were later returned to Gaza.

They testified about beatings and abuse by soldiers and during questioning. Pictures of released detainees showed bruises and marks on their wrists from prolonged handcuffing. According to a UNRWA report published by The New York Times on Tuesday, detainees released to Gaza testified that they were beaten, robbed, stripped, sexually assaulted and prevented access to doctors and lawyers.

In late February, Azzadin Al Bana, a 40-year-old man from Gaza who suffered from serious illness before his arrest, died at a Prison Service clinic. The Committee on Prisoner Affairs stated that Al Bana was arrested at his home in the Gaza Strip about two months ago. Haaretz learned that Al Banna was first brought to the Sde Teiman base and initially held in regular detention there, and only transferred to the Sde Teiman medical facility two weeks later. About a month ago, he was transferred to a Prison Service clinic.

A lawyer who recently visited the clinic said that prisoners there said he suffered from paralysis and had serious pressure wounds. According to the lawyer, one of the prisoners said Al Bana appeared yellow and made dying sounds but did not receive proper treatment. Prison Service data sent to HaMoked Center for the Defense of the Individual shows that, as of March 1, 793 Gaza residents were held in jails administered by the prison service under the status of unlawful combatants. This is in addition to an unknown number of Gazans held in military detention facilities.

The IDF Spokesperson's Office said in response, "Since the start of the war, the IDF has been operating a number of detention facilities, which are holding detainees, who were arrested during the Hamas assault on October 7 or during the ground campaign in the Gaza Strip. The detainees were brought to the detention facilities and questioned. Anyone found to have no connection to terrorist operations was released back to the Gaza Strip.

Since the outbreak of the war, there have been a number of cases of deaths of detainees held at prison facilities, including detainees who arrived to detention wounded or suffering from complex medical conditions. Every case of death is investigated by the Investigative Military Police, and the findings are sent to the Military Advocate General at the conclusion of the investigation."

États nazis.

Israel État nazi, ofc. Pas besoin de préciser.

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3:36:55 : Master class de Youssef Boussoumahd

On est franchement dans le camp du mal.

Guerre Israël-Hamas : inquiétudes autour d’une offensive israélienne dans le sud de la bande de Gaza

Genocide Israelien : Inquietude sur le massacre en passe de devenir un vrai genocide,

La ville de Rafah et les alentours hébergent quelque 1,4 million de Palestiniens, chassés du nord et du centre de l’enclave par l’offensive militaire israélienne. Israël annonce une offensive, tandis que l’extrême droite appelle à un nettoyage ethnique.

La ville de Rafah contient 1.4M de deportes. Une shoah moderne se prepare.

Le 26 février, l’armée a soumis au gouvernement un plan d’évacuation pour les quelque 1,4 million de personnes qui s’entassent dans le sud de l’enclave. Certains détails ont été révélés, comme le retour des femmes et des enfants dans le nord du territoire – mais pas les hommes de plus de 14 ans – et la construction de camps de déplacés à l’extrême sud de la bande de Gaza.

Une deportation s'organise en plus de l'extermination.

Israel est un etat Nazi, Tout ses soutiens sont des collabos.

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Artists and musicians in Sweden, Iceland and Finland had petitioned the European Broadcasting Union to exclude Israel over its atrocities in Gaza

Israel can compete in this year's Eurovision Song Contest, organisers confirmed on Thursday, again rejecting calls for it to be excluded over the Gaza war like Russia was after invading Ukraine.

On Wednesday, a group of 400 celebrities including British actress Helen Mirren, British singer Boy George and former Kiss frontman Gene Simmons published an open letter supporting Eurovision's decision to maintain Israel's participation.

The letter was issued in response to petitions calling for Israel to be kicked out of the world's biggest live music event, which is being held in Malmo, Sweden, in May.

Approached by AFP, the European Broadcasting Union said it had conducted a review and decided late last year that Israel could participate in the kitsch annual pop extravaganza.

"The Eurovision Song Contest is a non-political music event and a competition between public service broadcasters who are members of the EBU. It is not a contest between governments," EBU director general Noel Curran said, reiterating a statement made in January.

read more: https://www.newarab.com/news/eurovision-confirms-israel-can-compete