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Communauté de secours:

founded 1 year ago
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Aujourd'hui, Viktor parle plus politique que cinoche (mais c'est lié) et nous offre en bonus un ptit clip ("Faire barrage !"), bien sympa a mater.

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Over at !topview@lemmy.world we are struggling to fins out what these circular interconnected earth patches are

They are located slightly east of Le Bout De Taut (Coordinates: 50°27’07,38" N 1°38’34,17" E)

Link to the post @topview:

https://lemmy.world/post/17227089

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Eh bien, ils n'y vont pas avec le plat du dos de la main morte.

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Même si ce programme ne sera jamais appliqué vue la situation vers laquelle nous nous dirigeons.

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Les sénateurs livrent jeudi les conclusions de leur commission d'enquête sur les tarifs de l'électricité. Parmi leurs propositions, une baisse ciblée de la fiscalité uniquement sur les premiers mégawatts/heure consommés.

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Paroles

Je me fous, fous de vous, vous m'aimez
Mais pas moi, moi je vous voulais mais
Confidence pour confidence
C'est moi que j'aime à travers vous

Si vous voulez les caresses restez pas
Pas chez moi, moi j'aime sans sentiment
Confidence pour confidence
C'est moi que j'aime à travers vous

Mais aimez-moi à genoux j'en suis fou
Mais de vous à moi je vous avoue
Que je peux vivre sans vous
Aimez-moi à genoux j'en suis fou
Et si ça vous fait peur
Dites-vous que sans moi
vous n'êtes rien du tout

Tout pour rien, rien pour vous
Vous m'aimez mais je joue
J'oublie tout
Confidence pour confidence
C'est toujours moi que j'aime à travers vous

Vous pleurez révoltée taisez-vous
Vous m'aimez mais pas moi
Moi je vous veux pour moi et pas pour vous
Vous je m'en fous tant pis pour vous
Aimez-moi à genoux j'en suis fou
Et n'oubliez jamais que je joue
Contre vous, vous pour moi sans vous
Vous l'avez voulu, tant pis pour vous
Aimez-moi
Mais confidence pour confidence
C'est moi que j'aime à travers vous

Et je me fous, fous de vous, vous m'aimez
Mais pas moi, moi je vous voulais
Mais confidence pour confidence
C'est moi que j'aime à travers vous

Si vous voulez les caresses restez pas
Pas chez moi, moi j'aime sans sentiment
Confidence pour confidence
C'est moi que j'aime à travers vous

Mais je me fous, fous de vous, vous m'aimez
Mais pas moi

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Le Journal des Briques, diffusé par Le Média.
Un peu de soleil, je prends.

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Résumé exécutif

Le projet Politoscope observe depuis 2016 le militantisme politique sur X/feu-Twitter. Nous avons développé des méthodes pour analyser les dynamiques sociales et de débats, ainsi que les manipulations d’opinions.

Permettant de passer en accéléré ces dynamiques sociales, il est possible de caractériser un processus d’affaiblissement puis d’inversion du front républicain à l’approche des législatives de 2024 et d’identifier les stratégies de subversion qui l’ont favorisé. Ces stratégies de basse intensité, pilotées ou influencées pour la plupart par le Kremlin, se déploient sur des échelles de temps trop longues pour que les acteurs du débat en aient conscience. Elles visent à déstructurer la société française de manière systémique pour provoquer une transition vers une société fermée ou une démocratie illibérale.

Dans un contexte de reconfiguration brutale de l’espace politique suite à la dissolution de l’Assemblée nationale, les efforts du Kremlin sont sur le point de payer. Cette étude identifie une convergence d’intérêts entre le régime de Poutine et l’extrême-droite française. Elle explicite certaines mesures actives mises en place par le Kremlin depuis au moins 2016 pour déstabiliser la société française et montre comment certaines d’entre-elles entrent en synergie ces jours-ci pour faire tomber voire s’inverser le front républicain. Ceci est la dernière étape avant la prise de contrôle de la France par des personnalités politiques moins hostiles au régime de Poutine.

Dans ce dispositif, les communautés politiques préoccupées par le conflit israélo-palestinien et la montée de l’antisémitisme ou de l’islamophobie sont instrumentalisées afin de compromettre tout barrage contre une extrême-droite banalisée au second tour des législatives.

"Minuit moins dix à l’horloge de Poutine Jusque-là, tout se passe comme prévu" David Chavalarias, CNRS, EHESS/CAMS & ISC-PIF Pre-print de l’Institut des Systèmes Complexes de Paris Île-de-France V3 - 3 Juillet 2024 https://nextcloud.iscpif.fr/index.php/s/eY5YqtbdbAKsiWe

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Je me faisais la réflexion en voyant un article sur Prisca Thevenot, dont j'ignorais le nom jusqu'à présent (je n'ai pas suivi le gouvernement Attal de très près)

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Des inégalités sociales qui traversent la France, il n’est que peu, voire pas question dans les débats qui scandent la campagne législative, dominée par la problématique du pouvoir d’achat. Le sujet n’apparaît pas non plus dans la liste des thèmes que les enquêtes d’opinion placent en tête des déterminants des choix électoraux. Pourtant, « la crise de confiance française est très fortement corrélée avec le sentiment de ne pas vivre dans une société tenant sa promesse d’égalité », analyse le chercheur Bruno Cautrès dans l’édition 2024 du baromètre de la confiance politique, du centre de recherches politiques de Sciences po (Cevipof).

Difficile de savoir dans quelle mesure et dans quel sens ce ressenti oriente les comportements électoraux. Mais il caractérise une partie de l’électorat, notamment de ceux qui donnent leur voix au Rassemblement national (RN). « Durant mon enquête, le sentiment d’injustice était très présent », expose Félicien Faury, auteur de Des électeurs ordinaires. Enquête sur la normalisation de l’extrême droite (Seuil, 240 pages, 21,50 euros). Des préoccupations qui, selon son analyse menée dans le sud-est de la France, portent « principalement sur les questions fiscales, résidentielles et scolaires », alimentées par l’impression que « tout un ensemble de ressources – des environnements résidentiels paisibles, des services publics de qualité, des écoles de bon niveau… – sont devenues rares, avec une vive compétition entre groupes sociaux pour y avoir accès ».

Le politiste évoque l’idée d’un « entre-soi raté » chez beaucoup d’électeurs RN, pris entre une « pression par le haut » des plus aisés et une « pression par le bas des plus modestes ». « Beaucoup ont l’impression que “les quartiers” les “rattrapent” », dans leur environnement résidentiel et scolaire. « Ils souhaiteraient pouvoir habiter ailleurs et s’en éloigner, mais ils n’en ont pas toujours les moyens financiers. Leurs ressources sociales ne sont pas à la hauteur de leurs aspirations ségrégatives », explique le chercheur. Cela « crée beaucoup de frustration vis-à-vis des autres groupes sociaux qui vont, eux, bien choisir les quartiers où ils habitent ».

« L’accès aux élites est fermé, mais le bas de l’échelle sociale semble très ouvert et subit de plein fouet la concurrence avec la mondialisation, dont l’immigration est le symbole. Entre les deux, la mobilité sociale n’est plus assurée comme autrefois », analyse le politiste Luc Rouban, chercheur au Cevipof, auteur des Racines sociales de la violence politique (Editions de l’Aube, 192 pages, 18,90 euros).

Les classes moyennes en périphérie

Concernant les écarts de revenus, la France est « au milieu du gué », « ni très égalitaire ni très inégalitaire », selon Louis Maurin, le directeur de l’Observatoire des inégalités. Mais les scènes résidentielle et scolaire, qui sont « au centre de la vie des individus et participent à la construction des sociétés », selon les mots du géographe François Madoré, professeur des universités à Nantes, sont bien le théâtre de phénomènes ségrégatifs, choisis par les uns, subis par les autres, notamment aux deux extrémités de l’échelle sociale.

Sur le plan résidentiel, depuis le début des années 2000, l’augmentation des prix de l’immobilier, bien supérieure à celle du niveau de vie, a ainsi changé la répartition des classes sociales sur les territoires, repoussant les classes moyennes en périphérie. Dans le même temps, la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains a imposé aux communes un quota de logements sociaux permettant, grâce à la politique de la ville, de créer, de maintenir ou de développer la mixité sociale. « Les prix de l’immobilier et l’accès plus ou moins large au parc social permettent de filtrer la population », souligne l’économiste Pierre Madec.

En 2020, une étude de France Stratégie montrait que la ségrégation résidentielle entre les groupes sociaux était relativement stable depuis une trentaine d’années. Elle était néanmoins plus forte parmi les ménages les plus aisés, davantage concentrés dans certains quartiers que les plus précaires. En 2024, une analyse de l’Insee fondée sur les revenus et menée à une échelle plus fine concluait que, « entre 2004 et 2019, les disparités spatiales selon le revenu se sont accentuées dans la plupart des grandes villes » et que « tous les groupes de revenus vivent dans des quartiers de moins en moins mixtes, à l’exception notable des populations les plus modestes ».

Contournements de la carte scolaire

Cédric Van Styvendael, maire socialiste de Villeurbanne (Rhône), une ville qui compte 28 % de logements sociaux et où le prix des habitations atteint les 7 000 euros le mètre carré, éprouve ce paradoxe au quotidien. « Faire habiter des gens différents au même endroit est important, mais cohabiter ne suffit pas à créer l’expérience de l’autre. Il faut que ça se traduise dans la manière dont on se côtoie, on se parle, on se confronte », juge l’édile, qui observe des différences « dans l’usage de certains lieux culturels ou de loisirs », comme les bars et les restaurants..

« Nous sommes dans un pays où la promesse d’égalité est extrêmement forte, constate Louis Maurin. Elle est écrite sur tous les frontons que chaque élève voit tous les jours : liberté, égalité, fraternité. Cela crée des attentes et des déceptions extrêmement fortes. » D’autant que le contraste peut se révéler violent entre la promesse d’égalité des chances et les trajectoires scolaires, influencées plus qu’ailleurs par le milieu d’origine. Or, « la ségrégation scolaire augmente, notamment du fait d’une différence croissante entre enseignement public et privé, même si toutes les situations ne sont pas homogènes », souligne le sociologue Marco Oberti.

Une ségrégation qui évolue indépendamment de celle du parc de logements, du fait des méandres de la carte scolaire et de ses contournements, soit au sein du public, soit du public vers le privé. Dans son ouvrage Vers la sécession scolaire ? (Fayard, 232 pages, 20 euros), le chercheur Youssef Souidi a ainsi montré que, « en moyenne, les élèves défavorisés vont dans des collèges plus défavorisés que leur voisinage, et inversement : les enfants favorisés vont dans des collèges plus favorisés que leur voisinage, et c’est d’autant plus vrai qu’ils vivent dans un quartier défavorisé ».

Si la question de la mixité irrigue de nombreuses actions publiques menées par les collectivités territoriales, nombreux sont ceux qui s’étonnent de l’absence quasi totale de cet enjeu dans le débat public national et de la timidité de l’action de l’Etat en la matière. Le sociologue Lorenzo Barrault Stella le résume : « Ce sont des évolutions larvées et qui ont des conséquences difficiles à percevoir, mais c’est une question politique centrale : on parle là ni plus ni moins que de la manière dont on fait société. »

Sylvie Lecherbonnier et Eléa Pommiers

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publication croisée depuis : https://gayfr.social/users/Eric_ours_polaire/statuses/112718203540815188

🚆 🇧🇪 En train de Namur à Beauraing

@1jour1kif
#1jour1kif
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Je l'avais promis dans un autre message, je reviens aujourd'hui sur l'une des plus belles lignes de chemin de fer de Belgique (à mon sens, qui est forcément subjectif), à savoir la ligne reliant Namur à Athus via Dinant, Bertrix et Virton que l'on nomme l'Athus-Meuse. Aujourd'hui, je me concentre sur la portion entre Namur et Beauraing.

Avant de prendre le train, une visite de la capitale wallonne s'impose, Namur est, depuis que la Belgique est un état fédéral, la capitale de la Wallonie. C'est une petite ville entre les villes de Liège et de Charleroi, devenues riches au XIXème siècle grâce au charbon et à l'acier, j'aurai l'occasion d'y revenir dans le futur. 🙂

Namur, c'est aussi la ville où la Meuse et la Sambre, deux fleuves qui prennent leur source en France, se rejoignent pour couler doucement vers Liège et la frontière néerlandaise.

Namur, c'est la ville du peintre Félicien Rops dont on pourra visiter le musée. C'est aussi une ville universitaire, nous trouverons donc facilement de quoi manger et boire notamment dans le quartier du vieux Namur avec ses pittoresques rues étroites (piétonnes). Un des endroit qui a subit de nombreux changements ces dernières années, c'est le Grognon, au confluent. C'est aujourd'hui une promenade sympathique où il fait bon flâner.

Après cette découverte de Namur, nous prenons donc place dans le train L(ocal) vers Dinant et Libramont.

Quittant Namur, nous allons suivre jusqu'à Dinant la vallée de la Meuse. A noter, pour les amateurs de vélo, qu'il existe une voie verte qui longe la meuse par son chemin de halage.

Après une demi-heures, nous arrivons à Dinant, ville touristique et ville natale d'Adolphe Sax, l'inventeur du Saxophone. Outre un musé qui lui est consacré, la visite de la citadelle fait partie des incontournable et s'il fait chaud, une visite de la grotte "La Merveilleuse" offrira un rafraîchissement bienvenu à moins que vous ne préféreriez déguster une bière de l'Abbaye de Leffe (qui n'est pas brassée en l'endroit!) sur l'une des nombreuses terrasses sur "La Croisette" ainsi que s'appelle la promenade de bord de Meuse.

Dinant est aussi le point de départ d'excursions en bateau-mouche qui vous amènerons selon les jours et les heures au château de Freÿr à Waulsort. Alternativement, vous pouvez utiliser le bus du TEC (société wallonne des transports urbains et interurbains) qui relie Dinant à Givet en suivant la Meuse. Pour nos voisins français, Givet est le point d'arrivée des trains en provenance de Charleville-Mézières. J'y reviendrai aussi...

Poursuivons notre trajet en train, nous quittons la vallée de la Meuse à Anseremme, qui est le point de départ pour les kayakistes qui empruntent notre train pour rejoindre Gendron-Celles ou Houyet pour ensuite faire la descente de la Lesse que nous croiserons et recroiserons sur ce tronçon. Le château de Walzin (non visitable) émerge tout d'un coup au détour d'un élargissement de la vallée, fiché sur son éperon rocheux, vous ne pouvez le manquer! La région regorge aussi de chemins de randonnées, vous n'aurez que l'embarras du choix.

Bientôt nous arrivons à Beauraing, gros village célèbre dans le monde entier en raison des apparitions supposées de la vierge Marie en 1932-1933 au pied de la voie ferrée qui surplombe ce qui est devenu aujourd'hui un sanctuaire marial visité par des pèlerins qui viennent de partout! Que l'on soit croyant ou non, l'endroit offre un moment de repos propice à la méditation dans un environnement calme et de recueillement.

Il y a encore tellement de choses à raconter sur les localités riveraines (ou proches) de cette ligne ferroviaire.

Après Beauraing, la ligne s'élève vers le plateau ardennais, offrant des paysages beaucoup plus ruraux jusqu'à Bertrix. L'hiver, si l'on a de la chance, les paysages enneigés donnent une ambiance magique à la région.

Comme toujours, pour en savoir plus sur toutes les localités et les autres, une seule adresse :
➡️ https://visitwallonia.be

#Wallonie #Beauraing #Dinant #Namur #Lesse #Meuse #Trains #Belgique #Trajet_en_train #voyage_en_train

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Appel de syndicats et associations dont la LDH

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"Si on le met à plat, le programme de la gauche il n'a rien d'extrême. La cantine gratuite, rétablir l'ISF et augmenter les salaires, dans aucun référentiel c'est extrême. Ni en comparaison internationale, ni en comparaison historique."

Tu vois Eric, quand tu veux tu peux dire des trucs intelligents.

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Ça faisait quelques émissions que ITP digressait sur l'actualité politique, lui qui parle de ciné. Là, il se lâche et s'interroge sur ce qui se passerait si Bardella gagnait l'élection.

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